Référence: Rapport du commandant FFI Branchoux, des rapport du sous-préfet de Lannion et d'autres fiches issues des archives départementales
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Outre ces actions contre l'occupant, il y a eu aussi de nombreux vols, fait souvent avec la complicité de l'employé de tabac, de postes de radio TSF, de cartes alimentaires, de tampons, de machines à écrire, d'argent liquide dans les mairies, perceptions, bureaux de poste, bureau de tabac et chez certains habitants. Il y a eu aussi quelques vols et incendies dans des fermes visées par la Résistance pour ...
En 1944, il y avait tellement de monde dans les maquis, qu'il fallait bien les nourrir et leur fournir un peu de tabac. Le ravitaillement normal était payé directement ou se faisait en échange d'un bon à valoir après la libération .
Certains bandits (maquisards de la dernière heure), armés à partir de mai 1944, ont pu utiliser leurs armes pour extorquer de l'argent, faire des exactions et parfois assassiner.
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